Parrainer un enfant en adhérant à Pousse-Pousse, c’est plus que donner 18 euros par mois. C’est tisser un lien avec un ou plusieurs enfants à travers les courriers.

Les parrains s’engagent à écrire 4 fois par an à leur filleul, portant ainsi un regard intéressé et bienveillant sur le parcours de l’enfant. Celui-ci répond aux courriers de son parrain ou de sa marraine, parle de sa vie, de sa scolarité, de sa famille, de ses loisirs. Une relation se créée au fil de ses lettres.

Plus concrètement, le parrainage permet aux enfants d’aller à l’école de façon régulière, comme tout enfant devrait pouvoir le faire.  Quand il sait qu’il va être parrainé, l’enfant peut enfin pour la première fois envisager un avenir possible ; c’est pourquoi il faut pouvoir s’engager dans la durée et accompagner cet enfant sur plusieurs années.

Le parrain s’engage à :

  • Verser 18 euros chaque mois à son filleul. Chaque trimestre, les personnes relais au Vietnam réunissent les enfants afin de leur remettre la somme dans son intégralité. A cette occasion, elles font le point sur leur scolarité, leur santé de façon plus officielle avec les autorités.
  • Ecrire une lettre chaque trimestre à son filleul.

L’enfant parrainé s’engage à :

  • Suivre sa scolarité et informer les personnes relais au Vietnam des difficultés qu’il peut rencontrer tant sur le plan scolaire que médical
  • Ecrire une lettre à son parrain/sa marraine chaque trimestre.

Au fil des années, les pédiatres – qui rencontrent les enfants lors de la visite médicale annuelle – ont constaté une évolution favorable dans le comportement des enfants parrainés : ils sont plus souriants, ouverts et confiants. En effet, grâce à leur parrain/marraine, ils peuvent envisager de suivre et poursuivre leurs études. De plus, ils savent que l’association est présente en cas de difficulté.

Le saviez-vous ? Depuis la création de l’association, une trentaine de parrains est venue à Tan Thoi rencontrer son ou sa filleul(e). Certains reviennent régulièrement et une vraie relation affective s’est tissée.